23/07/2005
L'Osthof (67)
7 rue du Général de Gaulle
67550 Eckwersheim
Tél. : 03 88 69 55 94
Site internet...
Pas mal de monde dans ce restaurant assez vaste... moi, je ne suis pas fana. J'y suis allé une première fois par 'surprise' et j'y retourne par 'nécessité'. On y mange simplement de la cuisine alsacienne solide. L'entrée el le dessert sont sans intérêt mais j'ai pris un onglet de veau aux champignons des bois, sauce à la crème & spätzele Maison plutôt bon mais très lourd et presque écoeurant selon GL. Je vois les tartes flambées qui n'arrêtent pas d'être servies sur les tables... mais je n'en prends pas pour cette fois.
Accessoirement, c'est assez loin de Strasbourg, 15-20 minutes en voiture avec autoroute et petite route... Je préfère, dans cette catégorie des nourritures solides, d'autres tables comme la 'Brasserie Fischer', le 'Vieux Schilick' ou encore le 'Cheval Blanc' à Schiltigheim.
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22/07/2005
Le Bistro des Saveurs (67)
L'excellent dîner du 22/07/2005
Sur le conseil précieux de PB, nous réservons une table dans cet établissement pour lequel nous n’avons pas plus d’informations. Nous arrivons à Obernai, le restaurant, assez discret, possède une façade presque banale. Nous entrons et première impression d’emblée excellente sans trop savoir pourquoi… l’intérieur est très harmonieux et particulièrement chaleureux et agréable ; plein de petits détails vous donnent soudain la certitude que tout devrait bien se passer… quelque chose de rare.
Je suis avec GL et LM. Nous sommes conduits dans une petite salle du premier étage. Une pièce assez spacieuse dans laquelle se trouve 4 tables (3 X 2 plus une ronde, la nôtre, pour 3 personnes). Beaucoup d’espace entre chaque table donne, là encore, une impression de confort. Lumière agréable. Décoration simple.
La carte nous est présentée. Une feuille, disposée sur la table, affiche les menus (Découverte à 76€ avec 6 plats énoncés et 5 verres de vin ; Cuisine d’été à 41€ pour 3 plats avec 3 possibilités pour chaque plat). Le serveur nous précise qu’un menu supplémentaire, celui du Chef, est également disponible à 62€ avec 4 plats : 2 entrées, 1 plat et 1 dessert ; surprise et pas de choix... Dans le doute sur nos choix à la carte, et GL n’ayant pas suffisamment faim pour le menu Découverte, nous décidons de nous laisser faire avec le menu du Chef… GL et LM demande l’option ‘Harmonie entre vignes et saveurs’ offerte avec le menu Découverte. C’est parti…
Amuse-bouches : plusieurs services…
1 / Tarte flambée et gazpacho au soda d’eau de concombre
La ‘tarte flambée’ est une simple bande de pâte dans la longueur, quelques fins lardons, et un peu de crème fraîche comme sortie d’un tube de dentifrice ; excellente. Le gazpacho est servi dans un petit verre à cocktail, le serveur ajoute le soda d’eau de concombre à l’aide d’un siphon, comme une eau de Seltz. Savoureux et original.
2 / Cône glacé
Le serveur nous présente un support en bois avec les cônes : une pâte filo contient une glace à la roquette et une ‘chantilly’ au parmesan (émulsion). Cette petite chose est toute mignonne et surtout délicieuse. Cela n’oublie pas d’être original.
3 / Mousseron des prés
Une petite ardoise nous est apportée, dessus une cuillère, avec quelques mousserons et une huile de noisette (nous avions hésité avec une huile d’Argan), et un petit pot de crème émulsionnée. Rien à dire, ce sont des petites choses mais, là encore, c’est tout bon.
Première entrée : Pastèque, tomates et caillé de Munster frais
Un mélange de textures et de saveurs intéressant entre la pastèque et la tomate, quelques amandes effilées pour apporter un peu de croquant, un sorbet, turbiné minute, d’olives noires Liguri et la finesse du Munster frais. Un ensemble particulièrement savoureux et frais ; mention spéciale pour le sorbet olives noires, étonnant de goût et de finesse…
Elle est servie avec un verre de Muscadet 2004 – Amphibolite de J. Landron ; un vin que j’appréciais de boire au temps du Bons Crus… et prochainement de retour à l’Arpent.
Deuxième entrée : Etuvée de févettes maraîchères
Elle est accompagnée de sarriette et d’une ‘écume’ d’oignons tendre de la Ferme de Truttenhausen (toute proche… et appréciée par le Chef pour ses légumes et fromages). Une entrée tellement bonne que j’ai envie d’y retourner… une sorte de consommé, présenté dans un ‘mug’ transparent, contient févettes, oignons, éclats de noisette, sarriette, etc… le genre de petite entrée que j’aimerai savoir faire. C’est savoureux à souhait, un vrai petit bonheur…
Elle est servie avec un verre de Coteaux du Loir (et non pas Coteau du Loire comme indiqué sur la carte) – L’Effraie du Domaine Bellivière ; un des vins de l’Arpent dont la consommation ‘effraie-née’ me vaut le droit de ne plus boire pour quelques mois…
Plat : Sandre, saucisse noire et verjus, version 2005
Le Sandre vient de la Loire. Sur un lit de choux, le filet de Sandre, à la cuisson parfaite, est déposé. La face visible est recouverte d’une ‘couche’ de saucisse noire en fines tranches. La version est millésimée 2005 car une émulsion de crevettes grises vient compléter l’ensemble pour ajouter de la douceur (dixit notre serveur). L’ensemble est très original, en terme de saveurs, mais parfaitement cohérent. La saucisse noire accompagne la finesse du Sandre sans la bousculer. L’émulsion de crevettes grises n’apporte pas, à mon sens, la douceur promise mais cela ne me perturbe absolument pas.
Il est servi avec un verre de Château Peyre-Lebade 1999 – Baron Benjamin de Rothschild ; je ne connais pas, je ne goûte pas mais GL et LM me disent l’apprécier beaucoup.
Fromages : sélection des marchés et fermes d’Alsace
Un plateau qui fait sauvagement envie ! Je me dis souvent qu’un plateau dans un établissement en région devrait se concentrer sur les fromages locaux plutôt que de se disperser… cela me semble logique, pour faire découvrir la région sous cet angle odorant, et préférable, pour une question de simplicité et de qualité ; bon, ce n’est pas évident. En tout cas, celui-ci est un parfait exemple de ce à quoi je m’attends. Je goûte à 5 ou 6 sortes : tomme, munster, brebis, chèvre, jeune, vieux, etc… ma préférence va au vieux Brebis, excellent. Les fromages sont proposés avec plusieurs confitures et marmelades : tomate verte, pomme-cidre, etc…
Pré-dessert : Tarte toute simple
Le Chef a dû être privé de glace quand il était petit et il en reste traumatisé… La tarte, une sorte de cannelé, est tenue par un bâtonnet d’esquimau. Toute l’originalité vient du fait qu’il faut la tremper dans trois coupelles successives : fromage blanc, sucre roux et cannelle. Délicieux.
Premier dessert : Gaufrette cacaotée, café et eclats de fèves
Le dessert compris dans le menu du Chef… et une tuerie ! Il est servi avec un sorbet, toujours turbiné minute, cacao amer grand cru Araguani 72%. Ok, ok, le sorbet est excellent, les gaufrettes sont bonnes et montées de manière originales mais la mousse des gaufrettes est simplement divine. Le serveur a parlé de ‘Nutella’ et ce doit être pour le côté noisette très présent et savoureux dans cette mousse.
Deuxième dessert : L’original Paris-Brest d’antan ‘Benjamin Faix’
J’avais prévenu le serveur : si je n’ai pas le dessert que je souhaitais, je le commande. C’est chose faite à peine le premier dessert servi… je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il soit aussi bon mais ce n’est pas grave, un Paris-Brest ne peut pas faire de mal. Et je ne le regrette pas : il est lui aussi excellent. Presque bluffant. Il est assez ‘généreux’ en taille, la crème pralinée est parfaite en goût et en texture, le choux est bon (le four a été rallumé pour le faire...) ; il est accompagné d’une glace pralinée toute aussi bonne. Je ne sais pas qui est ‘Benjamin Faix’ mais je le remercie… Après cela, un peu calmé.
Café et ‘mignardises’
Intéressantes feuilles – sauge, basilic, menthe, verveine, etc… - cristallisées dont l’ensemble du processus nécessite 4 heures. Je laisse GL et LM se battrent pour les manger. Pistaches et noisettes caramélisées, biscuit cacahuète ‘maison’ et caramel de l’Ile de Ré au beurre salé.
Bref commentaire…
Un repas qui me comble de plaisir et cela fait longtemps que cela ne m’était pas arrivé… J’évoque ces souvenirs mémorables de dîner parfait de bout en bout, et je pense notamment à notre dîner à l’Astrance en 2003 ; GL me rejoins d’ailleurs dans l’appréciation. Je pense aussi à un dîner à la Villa des Lys en 2000 avec FS. Ce dîner rentre dans le ‘top cinq’ de mes meilleurs souvenirs…
Il est intéressant de noter que je n’aurai pris aucun des 4 plats servis dans le menu. Je les ai pourtant tous apprécié, voire adoré, et rêve déjà de pouvoir y retourner pour les reprendre (erreur !).
Thierry Schwartz, le Chef, originaire d’Alsace, a une petite trentaine d’années. Je suis agréablement surpris et réellement impressionné par ce vrai talent fait de maturité, de technique aboutie, de recherche, d’originalité et d’un sens si naturel du détail. Il a travaillé avec PB au Laurent et avec M. Robuchon chez Jamin.
Ce restaurant possède maintenant un macaron au Guide Michelin (2005 : première année ?). Le serveur nous dit que c’était une surprise ( ? ? ?) et que cela a été difficile à gérer au point de ‘couper’ le téléphone pendant un temps…
Eh, Eh…
Il faut bien que je trouve quelque chose à redire… Le menu est intéressant car il m’a forcé à goûter des plats que je n’aurai pas pris, cela contribue grandement au plaisir ressenti. Mais en faisant l’addition du prix à la carte des 4 plats servis je trouve 58€ alors que le menu est facturé 62€ (soit 12€ ou un peu plus de 78 francs pour les 3 menus). Cela me déplait et je me permets d’en faire la remarque après avoir réglé la note. C’est un détail mais cela me choque d’autant plus que le détail est au cœur même de cette cuisine et de son environnement. Bon, cela dit, je me doute bien que le Chef ne compose pas son menu avec une calculette mais quand même… sa femme offre à GL un ballotin de caramel comme compensation…
Il est probablement préférable de se diriger vers les autres menus, dont le menu Découverte, avec quelques verres de vins, pour leur coût intéressant, ou alors de bien choisir à la carte, raisonnable en terme de prix.
Préférer aussi la salle du bas, on s’y sent certainement moins à l’écart. Nous avons réservé au dernier moment et avons bénéficié d’un désistement, le restaurant étant visiblement complet.
L’addition…
Je règle un total de 285,20 euros qui me semble très raisonnable : 3 menus de 4 plats, 3 fromages, 1 dessert supplémentaire, 7 verres de vin (pour un total de 45,50€), 2 litres et demi d’eau (Lisbeth rouge et Carola bleu), 2 cafés et 1 infusion.
La carte…
Elle donne notamment des indications sur le pain (6 sortes différentes), le beurre (ferme locale), le sel (M. Pelin à l’Ile de Ré) et le poivre. Des détails toujours appréciables.
* Entrée
- Foie gras d’oie ~ 28€
- Jambon Iberico ~ 27€
- Pastèque, tomates et caillé de Munster frais ~ 14€
- Etuvée de févettes maraîchères ~ 14€
- Poivrades, aubergines, courgettes, petits pois ~ ?
- etc…
* Poissons
- Sardines de Méditerranée à la plancha ~ 14€
- Saumon sauvage de l’Adour ~ 36€ / p
- Sandre, saucisse noire et verjus, version 2005 ~ 20€
* Viandes
- Longe de cochon fermier cuite en coque de sauge et sel marin ~ 20€
- Haut de côte de veau au lait ‘pochée / glacée’ ~ 26€
- Cœur d’Alloyau de bœuf de’Aubrac ~ 31€ / p
* Desserts
- Picon et bière ‘Yolande Haag’ (de la brasserie Météor ?), chips de pain d’épices et écorce d’oranges confites ~ 9€ (particulièrement tentant…)
- Gaufrette cacaotée, café et éclats de fève ~ 10€
- L’original Paris-Brest d’antan ‘Benjamin Faix’ ~ 9€
- Vacherin glacé aux myrtilles sauvage des Vosges ~ 10€
- Riz au babeurre romarin / pistaches / olive ~ ?
La carte des vins présentent de belles et sérieuses références, et pas seulement dans les vins d’Alsace très bien représentés, à des prix raisonnables.
L’adresse…
Le Bistro des Saveurs
35 rue de Sélestat
67210 Obernai
Tél. : 03 88 49 90 41
Parce qu'il porte bien son nom...
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21/07/2005
A² = (Arpent + Atelier)
Soirée du 21/07/2005
Je passe rejoindre Dom à l'Arpent. J'abuse sur les quantités de Vittel et sur l'excellente terrine de foie de volaille ; on pourrait dire qu'elle est lérègement trop poivrée mais cela lui va finalement bien. Cela ne suffit toutefois pas à calmer notre faim...
Nous avons envie d'une bonne entrecôte et décidons d'aller à l'Atelier de Joël Robuchon. Nous appelons pour prévenir de notre arrivée ; une nouvelle personne, sympathique et efficace, s'occupe désormais de l'accueil (Patrick ?).
Nous arrivons vers 23h ; il y a du monde mais moins qu'à l'habitude. Nous avons tout de suite nos places au comptoir. Dîner simple :
Entrée : Gazpacho
La toute première entrée goûtée lors de la première visite en mai 2003. Toujours aussi savoureux et léger pour se mettre en appétit. Nous le prenons en 'petite portion' (9€ ; la grande est à 14€).
Plat : Entrecôte
La viande est toujours aussi bonne (origine Normandie) et la cuisson est parfaite. Elle nous est servie avec un 'mix' pomme de terre : pommes fondantes, frites et purée. On se fait la réflexion que finalement ce n'est pas plus cher qu'ailleurs... l'entrecôte est à 33 euros ; des restaurants, ou plutôt des brasseries, n'hésitent pas à la facturer régulièrement entre 24 et 28 euros, voire plus parfois, sans que la qualité soit au rendez-vous. Celle de l'Atelier est d'ailleurs passée de 31 à 33 euros depuis quelques temps déjà mais cela s'explique probablement par une augmentation liée au coût de la vie plus qu'à un réajustement lié au marché de l'entrecôte sur Paris...
Le 'mix' pomme de terre disparaît rapidement ; je 'sauce' même le fond de la petite cocotte pour ne rien laisser de la purée...
Dessert : Soufflé à la Chartreuse, glace pistache
Une fois de plus, je ne fais pas preuve d'originalité... Il m'est servi alors que nous sommes en pleine conversation avec PB : il semble le trouver 'étrange' en terme de texture, chacun ses critères, et m'en recommande un immédiatement. Je ne me fais pas prier pour en avaler deux... Je lui précise que je le préfère depuis qu'il est moins sucré ; visiblement, le problème vient justement de là : moins de sucre = meilleur en goût mais moins facile à faire tenir... n'étant pas expert en soufflé, je veux bien le croire.
Les desserts sont à 10 euros.
L'addition...
Un total de 113 euros : 2 entrées, 2 plats, 1 dessert (Dom n'en a pas pris et le 2ème était offert), 2 cocktails maison (champagne et jus d'orange, les 2 seront pour Dom...), 1 Evian en litre, 1 verre de Pic Saint Loup pour Dom et 4 cafés. Cela reste certes une somme mais ce n'est pas pire qu'ailleurs, loin de là, et j'en resors toujours satisfait. Service toujours aussi agréable et efficace. Nous repartons dans les tous derniers vers 1h.
Pour le week-end prochain en Alsace, et en l'absence de M. et Mme Jung actuellement en congés, PB me conseille de visiter l'établissement 'Le Bistro des Saveurs' de Thierry Schwartz, l'un de ses anciens collaborateurs, installé à Obernai...
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19/07/2005
En vrac : les restos du jour...
Déjeuner du 19/07/2005
Brasserie Le Coq
2 place du Trocadéro
75116 Paris
Tél. : 01 47 27 89 52
Proche du bureau, c'est l'adresse la plus prétentieuse du coin dans la catégorie 'brasserie'. Elle occupe un angle comme n'importe quel autre établissement de la place mais la décoration se veut plus cosy, plus classe... elle est surtout passée et vieillissante, même si le chocolat était un peu revenu à la mode. La carte se veut également plus 'élaborée'...
Avec le recul, je m'aperçois que c'est généralement la table ou j'amène les 'partenaires' : on y dépense une somme (largement) suffisante pour le respect dû au rang mais pas plus... bref, quelques déjeuners à peine, probablement 5 ou 6 en 2 ou 3 ans : que faut-il en conclure ?. De retour aujourd'hui avec EM & HT. Pourquoi ? pour changer des autres restaurants du quartier dans lesquels nous sommes allés de trop nombreuses fois.
Je n'ai pas très faim et prends simplement un pavé de thon. Demandé rosé, il arrivera 'chaud' mais vraiment limite en terme de cuisson. Il ne me laisse pas un excellent souvenir : la chair ne se détache pas bien, et il n'est pas très fin en goût... Il est recouvert de câpres, non signalés dans l'intitulé, que je m'empresse de dégager sur le rebord de l'assiette. 24€ pour ce plat servi avec des haricots verts 'on the side' (bof mais je les mange quand même).
A la vue du macaron servi à une table proche, j'hésite sur le dessert : découpé en deux, un fond de crème patissière, des framboises, cela fait envie. Mais je doute de la qualité et renonce. Je rêve alors en alternance des macarons de chez Carette et d'un framboisier de ma patisserie voisine dans le 17e...
Dîner du 20/07/2005
Après un squash, et quelques bouchons d'un Paris estival, je retrouve MP à l'Arpent. Dom s'y trouve également. MP a faim et me glisse rapidement le code 'Tigre qui pleure'... Nous allons donc dîner au Livingstone ; super original, on y va jamais ! D'un autre point de vue, je n'ai pas d'idée et ne prends pas la peine d'y penser pour changer.
On fait simple et rapide : assortiment d'entrées, toujours aussi bon pour patienter, et 'Tigre qui pleure' avec des nouilles sautées. Rien à dire, pas de surprise, c'est comme d'habitude. MP dispose d'une unique option pour le vin proposé au verre : la couleur (blanc, rosé ou rouge) ; la provenance, on s'en fout ici ! Retour à l'Arpent dans la foulée, pour boire un dernier café, et voir Dom se désespérer...
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18/07/2005
Dix-Vins
57 rue Falguière
75015 Paris
Tél. : 01 43 20 91 77
Site internet : le Dix-Vins
Déjeuner du 18/07/2005
Lundi calme, tous les deux de retour de week-end, nous allons tester avec JF cette adresse qui était pour moi 'à faire'. Une seule table déjà partie, nous serons la deuxième, et dernière, du déjeuner : Paris est vraiment calme ! Tout s'enchaîne donc très vite...
Nous prenons le menu-carte à 24 euros.
Entrée : Tomates et mozzarella flashées
Petite assiette tiède, le tout est passé au grill de la salamandre. Parfait pour commencer léger.
Plat : Pavé de thon au pistou
Demandée rosée, la cuisson est parfaite. Bon poisson. Le gratin de pommes de terre qui l'accompagne est absolument délicieux !
Dessert : Ile flottante
Rien à dire, tout est bon et il disparaît très vite.
Bref commentaire...
A ce prix, rien à dire, c'est bon et juste. Les portions peuvent sembler légères mais c'est finalement ni trop ni pas assez et on en sort pas plomblés. JF prend une terrine de campagne maison, bonne, et un onglet de boeuf - sauce camenbert qu'il trouve très bon. Il paye l'addition dont je ne demande pas le total que j'estime autour de 65 euros pour 2 menus (seule certitude, au moins 48 euros !), 1 Evian litre, 1 verre de Cairanne et 2 cafés.
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