Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/06/2005

Le Pré Verre

Contexte : diner
Chef : Philippe Delacourcelle, Marc est en salle
Salle : rez-de-chaussée, bruyante
Menu : menu-carte à 25 €
Prix : 90€ sur un total de 135€ (JK)


Entrée : Blanc-manger de chèvre aux asperges.

Sympa, cela constitue une bonne mise en bouche.

Plat : Filet de boeuf en croute d'épices.

J'ai beaucoup aimé. c'est simple, un filet de boeuf correctement cuit et agréable en goût, mais cette croute d'épices lui apporte clairement une touche d'originalité.

Fromage : Brebis de Corse.

Présent :-)

Dessert : Fraises marinées au persil.

Original, frais et agréable. La raison de la venue dans ces terres lointaines de la rive gauche... et objet d'un petit énervement ! je fais l'effort en début de repas de demander que ce dessert me soit réservé : le serveur me répond que cela ne pose pas de problème et que ce n'est pas nécessaire... Arrive le moment ou le serveur revient pour prendre la commande : je lui dis "les fraises" ! il me dit qu'il n'y en a plus !!! je m'énerve et il finit par en trouver... comme quoi...

Vin : je ne sais plus... mais je me souviens avoir pris un verre de muscat corse, Domaine de Leccia, en guise de "digestif".

Avis : bonne cuisine à un prix vraiment très raisonnable, surtout pour le quartier. Cauchemar pour se garer (parking proche complet). Service pas franchement agréable, on s'est même fait virer à minuit par le patron... beaucoup de monde en cette belle soirée, victime de leur succés (article sur les fruits dans le Figaroscope) ?

27/05/2005

L'atelier Robuchon

Diner avec JF en provenance de Moscou dont je fais la connaissance.

PB est absent mais il a laissé des consignes à sa brigade pour qu'un traitement favorable nous soit accordé. EL est aux fourneaux, sa présence est moindre.

Une fois de plus, je me contente de mes choix habituels et cela me va bien. Agréable moment.

Nous abordons la question des restaurants sur Moscou. JF ne va que très rarement dans des restaurants russes qu'il délaisse pour le restaurant du Club France ou des restaurants étrangers, essentiellement italien qui semble être à la mode.

Je ne vais jamais dans ces restaurants lors de mes visites à Moscou. Je préfère découvrir leur cuisine "locale" suffisament étendue pour s'amuser.

J'ai un faible pour le Café Pouchkine, bel endroit avec une décoration qui feint l'authentique, où j'aime retourner pour manger des cailles, des pirojki (farçi aux champignons, aux choux, à la viande, etc...) ou encore des pelmenis. Cela donne une soirée toujours agréable de dîner ici après un opéra au Bolchoi.

Après, il y a un tas de restaurants russes (gibiers), géorgien, ukrainiens (Chinok, ferme reconstituée en plein Moscou), ouzbèque et j'en passe qui méritent le détour. J'ai récemment découvert un site internet - Pektopah - mais je ne sais pas si son contenu est intéressant.

20/05/2005

La Table Lauriston

Déjeuner avec DD. Assez cher, voire trop cher surtout pour un déjeuner.

Excellente entrecôte de Normandie, bonne crème brulée. Belle carte des vins, nous nous sommes portés sur un domaine (Languedoc) que je connais pas et dont le prix restait raisonnable.

A revoir...

19/05/2005

L'Os à Moelle

Bon déjeuner "clients" à la table principale de Thierry Faucher : l'Os à Moelle...

Des plats sympathiques, des vins toujours agréables mais une carte assez classique par rapport à ce que je pratique habituellement, une addition assez raisonnable pour le plaisir procuré...

Un total de 247 euros à 4 personnes avec apéritif, eau minérale, deux bouteilles de vin, quatre menus, cafés, etc... bref, la totale.

Après ce repas, je n'ai aucun courage pour le restant de la journée !

23/04/2005

Le Dampierre

Un café-restaurant dans le 19e, une décoration assez banale mais une côte de boeuf de 800 grammes à 17 euros, tout est dit !

La viande est bonne et fraiche, on attend le chef la découper peu de temps après la commande, mais attention à la cuisson (jamais assez...).

Egalement un bon couscous. Des vins sans intérêt. Une adresse que j'aime revisiter parfois.

Je me souviens que la première fois, fin 1995, début 1996, la côte de boeuf était à 75 francs.

Ce soir-là, diner avec GL et Dom.