04/07/2005
Michel Sarran (31)
21 boulevard Armand-Duportal
31000 Toulouse
Tél. : 05 61 12 32 32
Internet : Michel Sarran
Voilà une adresse où j'aimerais pouvoir aller plus souvent ! A mon humbe avis, le meilleur restaurant de Toulouse qui, curieusement, ne semble pas compter tant de bonnes tables...
Suite à un passage dans l'émission 'Carte Postale Gourmande', j'avais très envie de visiter cette adresse. Un rendez-vous m'en donne l'occasion. Je réserve donc une table pour y déjeuner seul (unique fois que cela m'arrive... le prospect n'étant pas chaud : dommage pour lui !) le 25/03/2004. Le déjeuner est délicieux, original dans sa présentation et présente une parfaite maîtrise du début jusqu'à la fin. Je ne prends pas une bouteille mais 5 ou 6 verres de vin, soit le probable équivalent d'une bouteille en quantité, sur les bons conseils du sommelier, compétent et sympathique. Je prends en plat le 'filet de porc noir de Bigorre en cocotte au thym,
pommes au jus vigneron et lard Paysan' dont je garde un souvenir presque ému ! Le tout pour une addition de 106 euros (entrée, plat, dessert, vin, eau, café, bref... la totale) qui me semble particulièrement raisonnable vu le rapport qualité / prix / plaisir. De toute manière, dès qu'on sort de Paris...
J'y retourne avec plaisir deux semaines plus tard, le 09/04/2004, pour un dîner avec GL avant de passer un merveilleux week-end dans l'hôtel de charme 'Cuq en Terrasses' à Cuq-Toulza.
14:40 Publié dans Adresses | Lien permanent | Commentaires (0)
03/07/2005
En vrac...
30/06/2005 : Je n'ai pas vu EM depuis quelques temps. On se retrouve pour un apéro Vittel à l'Arpent. Il a faim et veut manger des sushis. Je propose d'aller dîner chez 'Japorama' où MP m'a emmené une fois précédente. Il est bon et pas cher : nous prenons 2 menus qui nous permettent d'avoir sushis, sashimis, makis et brochettes. Toutefois, on se demande si, tout comme les 'appartements raviolis', il existe des appartements sushis ou brochettes... car certains produits, qui se laissent manger, ont exactement le même goût que dans un autre endroit de même niveau. Je prends l'addition (autour de 36 euros pour deux : 2 menus et 2 cafés). Cela me fait bizarre de payer si peu, à force de payer trop cher pour n'importe quoi dans d'autres établissements.
01/07/2005 : soirée dinatoire chez JH des Grandes Caves. Nous sommes une douzaine, probablement tous des clients habitant dans le 17e... J'ai déjà croisé quelques une des personnes et, dans l'ensemble, l'assemblée est fort sympathique. Quelques bouteilles s'ouvrent et sur la fin de la soirée, moi qui ne peut boire d'alcool, je conseille vivement à GL de goûter le Bourgogne Pinot Noir de Coche Dury (2000) et un Côte Rotie de Jamet en 100 % syrah (1995). Le nez du Coche Dury est très flatteur avec des arômes boisés et vanillés déjà très beau. Le nez du Côte Rotie vous donne tout de suite envie de repasser à table autour d'une belle viande. j'aime ces vins très typés, un peu franc et 'masculin'. GL apprécie beaucoup le Coche Dury, moins le Côte Rotie, mais ce n'est pas étonnant. A ne pas oublier : une Fourme d'Ambert aux noix et raisins d'Alléosse absolument divine accompagnée d'un délicieux pain aux noix de chez BE (association Kayser & Ducasse, boulangerie où je ne pense jamais à aller).
02/07/2005 : déjeuner
après s'être couchés vers 4h, et un squash en tout début de journée pour ma part, ce n'est pas sans mal que nous allons à Versailles pour un déjeuner simple chez des amis. Inévitablement, nous parlons des régimes et des divers abus de bonnes choses solides et liquides. Avec OR, nous savons de quoi nous parlons : il a été longtemps un compagnon de bêtises à Paris ou en Corse ; le mariage et la parternité l'ont calmé. Nous entendons les répétitions du concert 'Live 8' : elles donnent envie d'y aller pour jeter un oeil mais nous n'en ferons rien...
02/07/2005 : dîner
Nous retrouvons G de Casa et sa mère pour un petit dîner. GL voulait dîner à l'Atelier Robuchon mais nous serons raisonnables en allant simplement au Livingstone. A nouveau, nous prenons assortiment d'entrées et 'Tigre qui pleure', des litres d'eau et voilà qu'il est temps de se rentrer...
17:45 Publié dans Sorties | Lien permanent | Commentaires (0)
01/07/2005
Casa Olympe
C'est finalement une erreur d'aller dans un établissement où on veut aller depuis longtemps ; après avoir entendu tant de choses, après une longue attente (injustifiée puisque c'est moi qui me débrouille mal pour avoir une table), on se monte la tête et on s'attend à quelque chose de fameux. Le risque de la déception est du coup beaucoup plus fort.
Je ne parlerai pas ici de déception. Il s'agit simplement d'un bon restaurant avec une cuisine de qualité et rien de plus. Je suis accompagné de JF pour ce déjeuner.
Entrée : Tartare de poisson
Thon et daurade, marinade aux échalottes, légèrement vinaigrée. Fin et frais.
Plat : Lamelles de contrefilet sautées aux légumes et coriandre
Viande trop cuite à mon goût, cela nuit au plat et empêche de savoir si la viande est vraiment bonne. Léger.
Dessert : Fruits rouges, olive noire confite, huile à la vanille
Très bon et vraiment original : l'olive confite s'accorde étonnamment bien avec les fruits rouges : fraises et framboises pleines de goût. Le tout est nappé d'une crème légère à la vanille : toute fine, elle a un chouette goût de vanille et complète bien les fruits et les olives.
Menu-carte à 37 euros pour entrée, plat et dessert. Je prends l'addition de ce repas et je paye un total de 98 euros pour 2 menus, 1 grande bouteille de Saint-Georges (en plastique, même designée par Starck, ca fait super 'cheap'), 2 verres de vin pour mon invité et 2 cafés. Vu le prix du vin, je pense que l'addition peut rapidement atteindre des sommets... Olympe Versini n'est pas en cuisine et nous ne saurons pas de quel village en Corse elle tire ses origines.
Endroit tout petit, il est difficile de se dégager de la table quand on est sur la banquette dans la première salle, la plus grande et lumineuse.
Un nouveau restaurant qui n'est plus à faire.
16:09 Publié dans Restaurants | Lien permanent | Commentaires (0)