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16/09/2005

Villa Rosa (Marrakech)

Villa Rosa
64 avenue Hassan II
Marrakech - Maroc
Tél. : +212 (0)44 43 08 32

Déjeuner du 16/09/2005

Aprés avoir fait un tour au Jardin Majorelle, bourré de monde, en route pour le déjeuner. Nous allons dans une adresse où GL & MB sont déjà allées. Situé dans le Guéliz, il est visiblement tenu par un français. Entrée quelconque sur la rue, on arrive dans une sorte de terrasse fermée. On s'installe dans la salle intérieure pour être un peu plus au frais. La salle est couleur 'tabac' ; le proprio doit fumer du Havane...

Carte essentiellement française et italienne mais il y a aussi quelques plats marocains. Ils se targuent d'avoir la Fourchette d'Or de la Gastronomie, kesako ??? On se fait un déjeuner léger.

Plat : Filet de boeuf grillé

Je le demande simplement grillé, sauce à part. Belle pièce de boeuf, cuisson OK. La sauce est aux champignons et je me laisse finalement tenter... Ca passe tout seul. Une assiette de légumes l'accompagne mais elle ne fait pas envie et je n'y touche pas.

Dessert : Tarte Tatin

Une tarte Tatin honnête mais sans plus. Je l'avale néanmoins avec sa boule de glace vanille.

Impressions...

Les prix sont corrects à la carte mais je n'ai pas vu la note ; invité. C'est bon mais cela reste une table simple bien que la déco et les prétentions affichées se donnent des airs de tables 'haut de gamme' dans le coin.

14/09/2005

La Braisière

La Braisière
54 rue Cardinet
75017 PARIS
Tél. : 01 47 63 40 37

Dîner du 14/09/2005

Le midi, je rejoins FS à Versailles. Nous allons sur le Salon des produits et techniques pour les espaces verts et les jardins, qui se tient tout autour de la pièce d'eau des Suisses ; l'entreprise de PC y participe et il a tout prévu... Il fait beau et on se retrouve vite dans un déjeuner irréaliste, un picnic de luxe avec barbecue : difficile de faire mieux comme cadre pour probablement le dernier de l'année.

Dans notre lancée, on fait le tour du propriétaire. Nous commencons par l'Orangerie ; difficile de décrire la beauté imposante de ce bâtiment exceptionnellement ouvert au public (en l'occurence aux 'professionnels' ; pour le 'public', ce sera le week-end prochain). Il s'y déroule la finale de la coupe de France des fleuristes ; c'est agréable. Une pièce d'eau, la baignoire de Louis XIV, se trouve surélevée dans un des angles ; vue imprenable et dégagée sur les perspectives intérieures. La responsable des espaces verts de la ville nous décrit son bonheur de visiter ce lieu l'hiver et de pouvoir en respirer les parfums. Nous poursuivons avec la visite du potager et nous y testons nos connaissances. Endroit là encore magnifique et impressionnant.

Bref, à la fin d'une petite journée bien agréable, je rejoins GL pour aller dîner à la Braisière. Depuis le temps que nous voulions y aller... La carte présente quelques changements depuis la réouverture mais tout semble fort sympathique. Après quelques mises en bouche fraîches, on se lance...

1ère entrée : Homard bleu au jus de verveine citronnelle, oeuf de Lucullus

Une assiette carrée arrive : c'est beau et cela semble vraiment copieux. Cerise sur le gâteau, c'est bon et frais. Le homard décortiqué trône dans une gelée rafraîchissante à laquelle la citronnelle donne tout son goût et repose sur des petits légumes qui apportent une texture agréable. Une petite salade dans un coin, constituée essentiellement d'herbes' et très bonne. L'oeuf apporte une touche très iodée avec beaucoup de goût et de finesse.

2ème entrée : Gâteau de pommes de terre au foie gras de canard

Visiblement un classique de la maison. Nous avons demandé une entrée partagée en deux. Les pommes sont fondantes et se marient parfaitement avec le foie gras de canard. Ce n'est pas trop gras en bouche ou même écoeurant. Quelques girolles mais elles n'apportent pas vraiment une touche intéressante.

Plat : Gigot d'agneau des Pyrénées rôti au thym

Un gigot confit avec une touche de croustillant. C'est très bon mais je joue là sur des plats qui ont ma prédilection. Quelques fèves pour accompagner gentiment ce plat.

Dessert : Fondant au chocolat

Un classique bien interprété avec un chocolat Valrhona. Quelques mignardises dont un excellent financier.

L'addition...

Je règle un total de 132 euros. Une coupe de champagne et un verre de Bordeaux (lequel ?), que GL n'a pas apprécié pour ce dernier, quelques litres d'eau minérale et café. Tout est vraiment très bon et la carte comporte plusieurs plats qui font vraiment envie. Elle est également raisonnable en terme de prix : autour de 50 euros pour E/P/D sans les boissons, sympa pour un restaurant 1*. La carte des vins semble être le point faible de la maison...

La salle possède une décoration moderne, déjà un peu classique dans son style, mais on s'y sent bien. Peu de couverts, à peine plus d'une trentaine. L'équipe est vraiment sympa et semble bien soudée. Nous discutons assez longuement avec J. Faussat à la fin du dîner qui revient sur son parcours et notamment son passage au Trou Gascon.

Nous y retournerons avec grand plaisir...

13/09/2005

Le Baratin

Le Baratin
3 rue Jouye-Rouve
75020 Paris
Tél. : 01 43 49 39 70

Dîner du 13/09/2005

Le midi, déjeuner sympathique avec NB dans une brasserie franchement mauvaise (pour être gentil) de Suresnes : Le Mousquetaire. Un truc à couper l'envie de manger.

Le soir, donc, envie de bien manger. Après un squash, on traîne à l'Arpent le temps de descendre quelques Vittel ; avec Dom, on décide alors d'aller dîner après un détour pour raccompagner MP. On se pointe direct au Baratin où on se fait gentiment 'recevoir' car il est déjà 23h15... Les cuisines sont franchement en train de fermer mais ils acceptent tout de même de nous servir. Jérôme me voit lire la carte, il me vanne en me disant que je rêve : vu l'heure, je mangerai ce qu'ils veulent bien me servir... adieu tartare de thon....

Mais j'ai du bol, la 'dispo' me convient même si cela n'aurait pas fait partie de mes choix...

Entrée : Bouillon de barbue aux légumes et cumbawa

Bien agréable ce petit bouillon. Quelques morceaux de barbue, une petite crevette, plein de légumes, une pointe de citronnelle. Pas trop chaud, cela permet d'attaquer franchement sans se brûler. C'est parfait.

Plat : Lapin Rex du Poitou en cocotte à la pepitoria

Une préparation sympa. Moi qui ne suis pas fana du lapin, il est vraiment très bon, cuisson tendre. Il repose sur des grosses fèves avec des légumes et une sauce 'consistante et herbeuse' : je suppose qu'il s'agit d'à la pepitoria'. D'ailleurs, je n'ai pas mangé des 'Pepito' depuis des années...

L'addition...

Un peu moins de 30 euros par personne pour ce gentil dîner. Nous sommes très sages, pas de dessert, un litre de Thonon, quelques verres de vin pour Dom, et deux petits cafés. Il est tard et Jérôme a besoin de dormir. Il me demande l'adresse de ce site, je décline gentiment en précisant que ce n'est pas fait pour être lu... il me parle de clients qui me connaissent, lisent ce site et travaille dans le quartier du Baratin...

Précédente visite (accessoirement la première également...) : le 25/08/2005...

12/09/2005

Le Quinze - Thierry Burlot

Le Quinze - Thierry Burlot
8 rue Nicolas Charvet
75015 Paris
Tél. : 01 42 19 08 59

Dîner du 12/09/2005

Après un squash et un passage 'apéro Vittel' à l'Arpent avec ED, nous nous mettons à la recherche d'un restaurant... J'appele l'Atelier JR sans forçer et cela donne : 'rien avant 22h30' ou le Sévéro Bar mais il est complet (la personne au bout du fil, visiblement le propriétaire - William, semble-t-il -, me conseille son 'annexe' à 20 mètres et me décrit gentiment le menu mais je n'appele pas...). On tente alors le Café Constant : fermé... Je me dirige alors sur le Dix-Vins mais, tout proche, je pense à Thierry Burlot dont JH m'a parlé et qui figure dans ma 'to-do' liste ; il est ouvert. On se gare à l'arrache dans la rue et on déboule sans résa dans un restaurant plutôt vide ; juste une table de deux, cela se remplira de quelques tables supplémentaires mais Paris est très calme.

Le menu arrive ; assez 'simple'. La carte vient d'être renouvellée pour le mois de septembre (elle change tous les mois). Un menu dégustation à 59 euros - en 6 plats autour des cèpes et du hormard - et un menu-carte à 26 € pour e/p ou p/d et 32 € pour e/p/d : 6 choix pour chaque service. Plusieurs choses font envie ; on demande quelques conseils sur le menu-carte mais la question est éludée et on nous 'vend' directement le 'gros' menu... Non, même s'il semble très bien, on préfère la carte ! On reste donc sur nos choix initiaux et on se passe de conseils...

Amuse-bouche : Fraîcheur de melon

Cela porte bien son nom : c'est frais et le melon est très bon, pas trop sucré et parfumé comme il faut.

Entrée : Champignons des bois et des prés en feuille de châtaignier

Une poêlée de petits champignons bien savoureux retenus dans des feuilles de châtaignier, plus là pour la touche décorative que gustative. A part, dans un verre, une crème tiède de cèpes 'façon Nutella' : excellente, l'émulsion Nutella qui chapote la crème aux cèpes est en fait à la noisette et l'accord est parfait. L'assiette et le verre se complètent et c'est un vrai plaisir.

Plat : Gigue de chevreau, figue rôtie

L'assiette arrive et cela sent vraiment très bon... La gigue se retrouve avec, en son centre, une feuille de menthe et une pointe de réglisse qui apportent une saveur délicate à la viande. Cuisson rosée parfaite, viande excellente. Un oignon confit recouvert de chapelure accompagne le plat : c'est là aussi très bon. C'est parfait.

Dessert : Pot de crème Mathurine pomme et caramel

Pour avoir posé la question, Mathurine est le prénom de la grand-mère du chef... Donc, un pot de crème caramel avec de bons morceaux de pomme au fond, des 'chips' de pomme sur le rebord du pot et, sur le côté dans l'assiette, une quenelle de glace à l'amande (ou au lait d'amande) sur quelques éclats de noix. C'est bon !

Les choix d'ED...

* Entrée : idem...

* Plat - Poitrine de Colvert, côte de blettes dans son jus : je n'ai goûté qu'un petit morceau et c'était très bon.

* Dessert - glace au caramel et fleur de sel : la serveuse vient avec le pot et sert à la cuillère deux belles quenelles de glace avant d'effiler du caramel au-dessus. Très bon, pas écoeurant.

L'addition...

Un total de 88 euros. Cela comprend 2 menus 'Découverte' à 32€, 1 verre de vin rouge à 7€, 2 demi-bouteilles d'Evian pour un total de 10€ et 2 cafés pour un total de 7€.

Une bonne surprise que cette table. Le menu-carte est de grande qualité et me semble particulièrement raisonnable, voire bon marché, à ce prix. C'est très bon du début jusqu'à la fin : produits de qualité, finesse, saveurs, maîtrise, originalité, etc... tout y est.

Thierry Burlot n'est pas aux fourneaux, il passe au restaurant peu de temps avant notre départ. La Responsable de Salle nous rappele qu'il s'occupe également du Cristal Room où, si j'ai bien tenté de réserver par le passé, je ne suis pas sûr d'aller un jour : elle nous parle d'un délai de 2 mois pour avoir une table ; foutaise ou non, ce sera sans moi ; je n'ai pas une vue à aussi long terme pour un restaurant !

Ici, c'est très bien, la salle, à dominante chocolat, est très agréable et la table est confortable. Pas besoin d'aller ailleurs... Par contre, une visite prochaine avec GL s'impose.

08/09/2005

Monolith City Club (Moscou)

Monolith Family City Club
Bolshaya Grouzinskaya 39
Moscow 123056
Russia
+7 095 253 8207

Dîner du 08/09/2005

Club privé pour riches moscovites ou étrangers. JF y reçoit. Déco de merde, club de sport, bar à sushi et restaurant français. Potable mais vraiment rien d'exceptionnel, on est d'ailleurs les seuls à dîner.

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