Le 123

"123" pour le numéro sur l'avenue de Wagram : Gérard Faucher jette son macaron et renouvelle son approche ; mais tout cela ne suffit pas pour convaincre.

La pire des soirées : celle du 14 février, celle de la Saint-Valentin. Goujat, je rentre sans cadeaux, ni même fleurs pour GL ! Elle veut sortir, moi pas. Après avoir tourné dans le quartier à la recherche d'un restaurant, il est 22 heures et seul ce restaurant nous accepte. Dommage...

C'est le type de clientèle, les habitants du quartier, que je ne n'aime pas, trop tout. Le diner est quelconque sans fait marquant dans les nourritures absorbées. Idem pour le vin. Le prix est beaucoup plus marquant.

Bref, pas la bonne soirée.